pas encore de titre précis, FAN FICTION!

Prologue

-Geneviève, tu te lève ou je viens te cher her?

-Mais Hélène, les cours commence à 9h00, laisse-moi dormir…

-Bon… Très bien, mais il n’est pas question que tu manque l’écol,e si à 7h30 tu n’est pas levé, je cdemande à Martin de venir te réveiller avec un seau d’eau glacée.

-C’est bon, je me lève!!!

Je me dépêche à me lever et file déjeuner. Predn même pas le temps d’enlever mon pyjama, je me ser un bol de céréales et finit par filer dans la douche. J’en sors dix minutes plus tard. À 8h30, je sors dehors pour attendre mon autobus. Étrangeent, 30 minutes après le début des cours, je suis appelée au secrétariat. Je prend mes affaire et me dirige vers l’endroit où je suis attendu. La secrétaire me tend un billet pour me dire que je peut partir de l’école pour la journée.

-Pourquoi, vous me donnez ça?

-Un dame à signer ce billet pour toi.

Je regarde la signature, c’est impossible : Integra hellsing. Je vais porter mes affaire à ma case et prend mon sac, je sors dehors et voit une grande voiture noire de parquer devant l’école, un homme est debout devant avec un parapluie dans les mains. Je le reconnais immédiatement : Walter C. Dornez. Il s’approche de moi et soulève le parapluie pour que je puisse m’y habriter.

-Merci.

-La baronne vous attend à votre demeure.

-…

Il m’aida à monter dans la voiture et c’est ainsi que commence notre histoire…

Dans la voiture, Walter me demande si j’ai ds questions.

-Est ce qu’Alucard et Seras… sont ici?
-Ils vous attendnet en compagnie de la baronne.
-… Merci.
-Vous devez sûremnt savoir pourquoi nous sommes ici, n’est ce pas?
-La pierre…
-Oui. Alucard en a besoin.
-Non! Il ne pourra pas… la manipuler et si elle me quitte, ou vvenait à être brisée… Ma vie en ferait d’autant…
-Je comprend, Mais la baronne pense que vous êtes celle qui pourra mêtte fin à la guerre enter le Major et elle.
-Je ne…
-Vous êtes sûrment déstabilisée, nous en reparlerons une fois arrivé à votre demeure…
-Merci…
-…

5 minutes après la fin de notre conversation, nous arrivâmes à la maison.Je tournais la poignée de porte lentement et entrais. La baronn étais assise dans le salon, cigare à la main. Alucard. Étais assis surm a chaise dasn la salle à manger et me regardais froidement. Je déposais mon sac sur la table et commencais à défaire ma boîte à lunch. Je rangeais mon dîner dans le frigidaire et commençait le devoir que mon professeure de français m’avait donné. Une fois finit, jele ranfeais dans mon sac à dos.

-Je pensais que vous prendirez plus de temps avant de comprendre et de venir ici…
-Il faut croire qu’avec Alucard, ça a aidé…
-Je sais parfaitement ce que vous voulez…. La pierre, mais je ne peux vous la donnez.
-Je comprend, mais nous avons besoin d celle-ci pour arrêter cette guerre qui est sur le point de commencer.
-Bientôt, votre manoir se fera attaquer, si vous restez ici, il sera réduit au néant, n’aillant plus personne pour le protéger.
-Il y a des soldats, prêtsa à donner leurs vies, pour le protêger, je ne fais aucun espoir que montanna Gagne.
-Mais beaucoup y mourrons…
-Tu peux empêcher tout ça, tu n’as qu’à nous suivre, Geneviève… ou à nous donnez la pierre.
-Je ne peux pas m’en séparer…
-.. Alucard soupiarait, tout d’un coup… Faut-il que je lui retire de force, Baronne?
-Non.

Je me levais et allais m’enfermer dans ma chambre jusqu’à l’heure du dîner.

-Baronne Integra, cela fait trois heures qu’elle est enfermée…dit walter.
-Elle pleure. Je peux l’entendre d’ici, elel aurait envit de crier, mais elle se retient, elle sait que j’écoute… dit Alucard.
-Je peux monter la voir, peut-être? Demanda Seras.
-Non, je vais y aller.
-Alucard…

Il monta lentement au 2ème étage.Rendu devant la porte de ma chambre, il sMarrêta et cogna.

-Va t’en, Alucard!

Il entra.

-Je… Tu n’as pas le droit de me voir comme ça.
-Je te vois tout simplement comme une adolescente qui a de lourdes responsabilitées sur le dos et qui a de la misère à les assumer.
-Je…

Il me serra dasn ses bras.

-Ce n’est pas en pleurant que tu les résoudra.
-Ne me fais… pas…la morale…
-Je ne cherche pas à te faire la morale, je veux tout simplement que tu comprenne que tu es importante, il ne faut pas que tu lâche, même dans les moments les plus durs.
-Parce que tu sais c’est quoi, bien sûr.
-Plus que tu ne le pense, même.
-Alucard, je peux te confier quelque chose?
-Oui?
-Demande d’abbord à Seras d’arrêter d’écouter et de tout reporter à Integra.

…

-C’est fait.
-Merci.
-J’écoute.
-J’ai toujours eu l’impression que je ne valais rien, m^me dans les meileurs moments. J’ai dû affronter la mort des centaines de fois, mais chaque fois, c’est pire…
-Je suis là, tu ne souffrira plus.
-D’un côté, j’aurais envie de te demander de m’éffacer la mémoire, mais de l’autre, je perdrais 12 ans de ma vie en un seul coup…
-Je ne peux rien faire pour ça.
-Tu pourrais m’acompagner à l’école?
-?
-Sous forme de loup?

Il éclata de rire.

-C’est pas drôle, je pense que mes cours seraient plus intéréssants avec toi.
-Parce qu’ils sont si enuyants que ça?
-Tu n’imagine même pas.
-J’essaye, en tout cas.
-Je vous aide avec la pierre, mais tu m’accompagne a l’école en forme de Loup.
-C’est bon, je vais me sacrifier…Sèche tes larmes et descendons, ils s’impatientent.
-Ok.

Il m’aida à me lever et nous descnedîmes.

-Alors? Demanda Victoria, tout excitée.
-Il se sacrifie… IL va venir endurer l’école avec moi ,en échange, je vous aide.
-Parfait.
-Il faut que j’y retourne?
-Oui.

Je repris mon lunch dans le frigo et retournais à ma journée de cour. Au début, Integra rentra avec moi pour que je puisse obtenir une permission d’animaux dans l’école. Alucard changea de forme et Walter le teint en laisse durant qu’Integra s’entretenait avec la directrice. Elle nous donna son accord, Walter me donna la laisse et nous partîmes en mathématique. Tout le monde dans la classe cria, mais je montrais mon papier au professeur. Quelle ne fût pas sa surprise en voyant la signature de la directrice. Elle me demanda de prendre place et Alucard se coucha à mes pieds. Urant la puse;

-Est-ce qu’il mord.
-Seulement si tu l’énerve.
-Tu veux dire que tu ne le contrôle pas? Demanda Cédrick.
-À moitié.
-Il pourrait nous tuer? Demanda Myriam
-Pas si je le retient.
-Ok.
-Cédrick ,je pourrais te dire quelque chose?
-Oui?
-Suis moi.

Il me suivit dehors.

-Tu connais la Hellsing, non?
-Oui, bien sûr.
-Alors voici Alicard.
-Non! Je te crois pas.
-Je te jure.

J’enlevais la laisse du cou d’Alucard.

-Tu peut reprendre forme humaine… enfin, Vampire.

Et il le fit.

-Non ,c’est impossible.
-Bou!
-AAAAAHHHH!!!!!!
-Cédrick Pleau, reviens ici tout de suite!!!
-NNNOOONNN!!!

Alucard le rattrappa et l’attrappa par le collet.

-Repose-le.
-Que fait-il ici!?
-Bonne question, mais la réponse est confidentielle. Dit Alucard.
-Même si je t’expliquais, tu ne comprendrais pas…

La cloche sonna.

-C’est pas rien, mais j’ai un cours d’histoire qui m’attend.

Alucard reprit sa forme de loup et je lui remit la laisse.

-*On parle de la Roumanie en ce moment, tu m’aidrais?*
-*On va dire, mais je croyais que tu connaissai bien cette époque.*
-*Je vais t’avouer que je n’ai jamais lli au complet l’œuvre de Stoker sur toi…*
-*…Très bien, je t’aiderais…*
-*Merci.*

J’entrais en classe. À chaque foi que le professeur posait une question, moi ou Cédrick y répondions toujours en premier. Et oui, il est dans la même classe que moi. Il faut acouer qu’alucard m’a bien aidé pour le cours d’histoire. Je suis repartie avec zéro devoir pour la semaine! Une fois rendu à la maison, je remarquais qu’Integra avait encore son cigare.

-On va mettre quelque chosse au clair, ok?
-Oui?
-Le cigare, vous ne pourriez pas le fûmer dehors, non?
-Ta mère fûme bien, elle.
-Oui, mais elle va se chopper un cancer du poumon, aussi.
-…

Je vidais mon sac à lunch et montais à l’ordinteur.Je commenc¸ais à écrire, encore une fan fiction, sur Hellsing. Alucard se rapprocham intrigué.

-Qu’est ce que tu fais?
-C’est pas tes affaires.

Il se mit à lire par dessus mon épaule…


Des coms? Je préviens, j'ai l'habitude de faire des chapitres tttttrrrrèèèèèèssss lllllooooonnngggg!